Vendredi 27.03...
Suite à une visite approfondie dans les archives de la cinémathèque française, afin de dénicher un extrait de film en rapport avec le parc alentour, c'est au bâtiment même que c'est porté notre attention. En effet en y sortant bredouille de toute découverte pertinente, c'est l'aménagement, l'architecture qui nous a marqué plus que l'archivage dissimulé dans le bâti. Le premier élément qui nous a marqué est cette différence de sensation d'espace entre l'intérieur et l'extérieur. Depuis le parc, la présence de la cinémathèque ne se fait pas tellement ressentir, on imagine un petit contenu. à l'inverse, à l'intérieur l'espace se dilate et donne de l'importance au bâtiment, on a la sensation de rentrer dans un autre édifice. dans les parties ouvertes au public, on ressent constamment cette notion de rétractation et dilatation de l'espace qui nous entoure. Cet effet est très largement accentué par la multiplicité des points de vue que l'on peut avoir sur une pièce ou un élément architectural (par les marches, les balcons intérieurs, les coursives...). Enfin, l'organisation intérieure est illisible depuis l'extérieur. nous étions par exemple incapable de préciser où se trouvait la vidéothèque que nous venions de quitter.
Notre idée d'intervention s'oriente dorénavant sur l'architecture du bâtiment plus que sur son contenue (même si il doit être mentionné). L’idée est donc de réussir à mettre en avant cette architecture, son ambiguïté, toujours dans l'esprit de développer son influence sur la grande prairie du parc de Bercy.
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