19 janvier 2009
Brouillons d'intentions
Après nos premières expérimentations mardi dernier, au sujet d’internet, on a rapidement trouvé des terrains d’expérimentations plus attractifs que d’autres. La quantité d’informations qui excède complètement l’homme, les sites de réseaux sociaux, la publicité… nous sont apparus comme les pistes les plus intéressantes. L’idée qui se dégage après ses tâtonnements qui avaient comme matière première internet est cette idée, plus que d’exprimer cet internet incommensurable, d’exprimer son retentissement dans la ville contemporaine. Plus que ce qu’il apporte, nous nous intéressons à ceux qu’il supprime dans le paysage. Sorte de définition en creux de cet « outil » qui reste difficile à appréhender tant il est neuf et sans précédent. Définit par les manques qu’il génère dans la ville (un système d’organisation connu de tous, lisible…) nous allons pouvoir plus aisément rendre compte de sa réalité, de sa véracité. Arrachant à ce concret qu’est la ville des pans entiers, son immatérialité ne sera plus comprise comme irréalité. L’enjeu est pour nous, je pense, de trouver une écriture pour cet échos. Je lancerai un peu en l’air, de le traduire de manière un peu « traces de guerres », de cyclones, feu de forêt…bref de manière un peu violente afin non pas de dénoncer le négatif d’une telle évolution, mais plutôt pour mettre en avant la rapidité fulgurante avec laquelle elle explose notre société comme un obus en pleine ville. De plus de telles orientations plastiques renforcent le côté arraché de force et surtout matériellement remplacé par rien ! Sinon, peut être que des pans (s’ils sont gigantesques) complètements vides en ville ont suffisamment de force. Ambiance désertique, no manland…En fait ca dépend vers qu’elle partie d’internet on s’oriente. A se propos, bien qu’il faille resserrer le champ je reste indécis, tout me parait intéressant. J’aime bien le côté consommation instantané etc (conséquences sur les commerces, les transports) ou les sites « sociaux » (avec des conséquences sur l’espace publique.) Mais j’ai l’impression qu’on peut trouver mieux.
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